Cinquante-cinquième Rapport d'Activité

Publié le par Pierre-Frédéric Zieba et Thierry Perigon

Grâce aux tweets, je peux dire que, le lundi, j'ai été particulièrement instable, puisque j'ai visité 4 ERP (Etablissement Recevant du Public), dont une savonnerie, ce qui me laisse penser que j'ai dû me lever tôt, ce jour-là.

Le mardi, j'ai structuré ma journée autrement : je l'ai passé avec Gérard, qui, je pense, a besoin de parler... Je peux juste espérer que cela le soulage, car nous sommes restés longtemps ensemble ; presque toute l'après-midi... Enfin, je lui ai présenté brièvement Marie. Enfin, j'ai travaillé sur un scénario de spectacle...

Avec Willy, nous avons bien fais avancer la cause de l'association, en allant à Radio Galère, le matin, de bonne heure. Tout de suite après l'interview, nous sommes allé à un des bars de La Friche. Puis, l'après-midi, nous sommes allés dans un bar. Après quoi, j'ai fini - tout seul - dans un troisième ERP.

Le jeudi, j'avais un rendez-vous important pour ma vie personnelle, mais, parce que je me suis trompé d'heure, on peut dire que j'ai gâché ma journée ; d'autant que j'ai rencontré, ce jour-là, des personnes malveillantes, qui m'ont empêché de faire mon travail.

Le moment le plus fort a été la dernière heure de la journée, puisque, à ce moment précis, je suis tombé malade, et, cela a donné le ton pour le vendredi ; ce dernier jour ouvré de la semaine, j'ai été cloué chez moi ; je n'ai pu envoyer que 2 mails.

Grâce à ce repos, le jour du goûter, c'est-à-dire le samedi, ne s'est pas trop mal déroulé, au niveau de la santé, mais assez désastreux pour l'association. En effet, ce jour-là, Marie a voulu stopper son aventure à nos côtés. Du reste, j'ai vu Gérard, Thierry, et Willy... Autant de soutiens réconfortants.

Enfin, dimanche... Le matin de cette dernière journée, je l'ai passé de la manière la plus agréable avec les Amis du Ravi : j'ai été, avec eux, vendre Le Ravi, ce journal satirique de la région PACA, à La Ciotat. L'après-midi, j'ai fréquenté 2 ERP, dont l'un a réellement affichée que je lui ai donné. Willy m'a tenu compagnie.

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