Cent quatorzième Rapport d'Activité (1/3)

Publié le par Pierre-Frédéric Zieba et Thierry Perigon

Après tout, il n'y a pas de honte à avoir, de ne pas être parvenu à maintenir le rythme hebdomadaire que je m'étais fixé de longue date. L'excuse est toute trouvée : les 3 semaines que je vais relater dans le présent article encadrent cette expérience particulière qu'est une campagne électorale :

- On remonte, donc, au lundi 15 mai, jour où j'ai déposé, à la Préfecture des Bouches-du-Rhône, ma candidature aux élections législatives, contre un reçu provisoire. Je comptais m'en servir pour organiser des rassemblements, car ceux-ci sont légalisés en période électorale, avec ce document. Dans ce but, j'ai visité 3 ERP, par la suite.

- Mais, j'ai vite déchanté, car, par "rassemblement politique", les patrons de bar ont raison d'imaginer plusieurs dizaines de personnes qui influent d'un coup ; pour moi, il n'était pas question de cela, mais j'ai quand même dû attendre le mardi, pour trouver un patron qui m'acceptait. J'ai cherché d'autre bars dans le secteur, sans succès. Alors, je suis allé plus loin dans ma circonscription, et j'ai trouvé.

- Avec une certaine mollesse, je n'ai commencé à m'organiser que le mercredi, via un évènement Facebook... Et il était urgent de le faire, car, ce jour-là, j'ai trouvé le quatrième bar. Fort d'un calendrier de campagne à peu près constitué, je suis allé rejoindre, le soir de ce 17 mai, mes amis de Nuit Debout Marseille.

- Le jeudi 18 et le vendredi 19, je les ai passé à Dijon, et, bien sûr, j'en ai tiré 4 mails...

- Le samedi et le dimanche, on peut dire que j'ai cherché à me reposer, en prévision des 2 semaines intenses que je m'apprêtais à vivre

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