Vingt-cinquième Rapport d'Activité

Publié le par Pierre-Frédéric Zieba et Thierry Perigon

Etant donné que j'ai fait le choix de traiter un jour de cette semaine avec le Rapport d'Activité précédent, la présente relation est tronquée d'un jour - le premier.

Du coup, on passe, directement, au mardi, jour où nous avons pris 2 bus, avec Thierry, et un de ses amis. Il s'agissait du bus de la plage, donc bondé de touristes. A l'aller, nous avons dû attendre 1, puis 2, puis 3 bus, avant de pouvoir monter dedans. Par ailleurs, le premier d'entre eux a baissé la rampe, mais, à cause des poteaux anti-stationnement, la plaque de fer est re-rentré, puisqu'elle avait heurté un obstacle. Aussi, le bus s'est bloqué, et le chauffeur a dû éteindre le moteur. Une fois rallumé, il n'a pas voulu tenter une deuxième fois de baisser la rampe ; Aussi, nous avons changé d'arrêt de bus, pour celui juste après, sans poteaux. Le chauffeur du deuxième bus nous a dit que le troisième était de dernière génératon, et, en effet, celui-là a baissé la rampe.

Au retour, les choses furent compliquées aussi, bien que nous ayons pu monter dans le premier bus qui est arrivé. Mais, celui-ci avait un terminus modifié et - première fois qu'une telle chose arrivait, le trottoir était trop haut, ce qui faisait que la rampe qui sortait butait contre le pavement, avant de rentrer dans son logement. Alors, pour sortir Thierry du bus, nous avons dit au chauffeur d'avancer un peu plus loin, et, là, il a pu déployer le matériel, et décharger notre ami.

Le mercredi a été beaucoup moins mouvementé, car j''ai voyagé seul 2 fois. Malheureusement, à l'aller comme au retour, je me suis fait transporté par le même chauffeur, qui ne veut pas baisser la rampe : j'ai enregistré 2 échecs.

Le jeudi, je n'ai pass pris de bus, j'ai vu un responsable de la Confédération des Comités d'Intérêt de Quartiers.

Le vendredi, je suis allé à la médiathèque, pour retrouver un article vieux de février 2015, dans lequel le Collectif pour une France Accessible était cité, sans que nous soyons concernés.

Le samedi était le jour de notre goûter hebdomadaire, Ce fut un échec retentissant. Personne ni Marie, ni Thierry, n'était là. Ce dernier est arrivé 1 heure en retard, mais il avait prévenu la veille. En plus, l'Equitable Café était vide ce jour-là, et je n'ai même pas pu faire de nouvelles connaissances. Pourtant, si j'ai choisi ce lieu, où nous sommes bien vus, pour nous réunir, c'est justement pour faire des rencontres fortuites. J'étais donc plutôt déçu.

Enfin, le dimanche était réservé à maa vie personnelle.

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