Vingt-quatrième Rapport d'Activité (3/3)

Publié le par Pierre-Frédéric Zieba et Thierry Perigon

Voilà un troisième volet (selon ce que l'on a prévu) un peu tiré par les cheveux, puisqu'il va être question d'une journée supplémentaire, se trouvant - sur le calendrier - entre une fin de semaine (ou week-end) et un férié.

En fait, il s'agit de marquer d'une pierre blanche le "début", et la confirmation, d'une méthode efficace, dira-t-on. Comme je l'ai déjà dit, il s'agit de répondre au besoin d'établir des données statistiques intéressantes : pour la semaine dernière - 3 jours en fait -, j'ai compté 7 trajets, pour trois rampes descendues, soit un peu moins de 50 % de réussite.

Aujourd'hui, la méthode qui nous avait permis d'atteindre ce taux de succès respectable a été confirmée, puisque, après un échec "de routine", Thierry et Marie avaient un rendez-vous important, et, bien sûr, je les ai accompagnés. Par 2 fois, nous avons réussi, tous les 3, à obliger les chauffeurs à baisser la rampe, ce que nous avons poursuivi, Thierry et moi, une troisième fois.

Mais, lors de notre cinquième trajet, nous avons connu de grosses difficultés, et il a fallu s'y reprendre à 3 fois, avant de trouver un chauffeur qui veuille bien baisser la rampe, mais, là encore, celui-ci à eu du mal à comprendre comment tout cela fonctionnait.

Cela dit, notre manière de faire semble la bonne : il s'agit de se "désolidariser" de son fauteuil, pour que les é éléments séparés imposent de redevenir un, si l'on peut dire. Du coup, on prend le risque de perdre le fauteuil, et de le retrouver qu'après un tour de bus, si personne ne l'a volé entre temps ; dans ce cas-là, il faudrait appeler la police (en impliquant, donc, les forces de l'ordre, ou d'autres, dans notre lutte). Là, ce n'est pas tout à fait ce qui s'est passé, puisque le chauffeur n'a pas démarré ; mais, la police a été prévenue.

Enfin, nous avons enregistré, Thierry et moi, un dernier échec, ce qui fait que, pour 6 trajets, nous n'avons connu que 2 échecs, soit 66% de réussite.

Par ailleurs, pour ne pas oublier, il faudra rapporter les choses plus fréquemment.

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